Open letter...
Side-Line editor's note: It was late January 2008 when we contacted Alan Wilder (ex-Depeche Mode) for an article on the shifting musicmarket and the position of the artist in this. The request came at the right time since Wilder had just announced that a limited enhanced single for 'Prey'/'Allelujah' would be released on February 25th, surprisingly not by the record label but by Russian fans. An interview quickly became an open letter from Alan Wilder...
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Interviews !
Fallait-il vraiment attendre le divorce Alan Wilder / Depeche Mode pour enfin reconnaître l'existence de recoil comme oeuvre artistique à part entière et lui accorder des interviews comme celles données par Radio 21, le 24 septembre 1997, et par Labels, par le biais de Club-Internet, le 24 octobre 1997 ? It's Just A Question Of Time ...
Alan Wilder était l'invité de Rudy Léonet, le mercredi 24 septembre 1997 sur Radio21 ( radio belge francophone - FM 104.6 Mhz ), vers 16h, dans son émission "5 Heures", qui a lieu entre 14h et 19h, dans le cadre de la promotion de l'album "Unsound Methods".
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recoil existe : Club-Internet l'a rencontré... et interviewé, le 24 octobre 1997, également dans le cadre de la promotion de l'album "Unsound Methods".
[ Interview ! ]
A broken frame, again...
Communiqué de Mute Records du samedi 27 mai 1995.
"We are very sorry to have to inform you that Alan Wilder has decided to leave Depeche Mode after over 13 years. The band have no plans to replace Alan and Martin is currently writing new material. Martin, Dave and Fletch intend to continue as Depeche Mode."
[ "Nous sommes désolés d'avoir à vous informer de la décision prise par Alan Wilder de quitter le groupe Depeche Mode après 13 ans. Le groupe n'a pas prévu de remplacer Alan et Martin écrit actuellement de nouveaux morceaux. Martin, Dave et Fletch ont l'intention de maintenir la formation Depeche Mode." ]
Déclaration officielle d'Alan Wilder, 1er juin 1995 :
"Due to increasing dissatisfaction with the internal relations and working practices of the group, it is with some sadness that I have decided to part company from Depeche Mode. My decision to leave the group was not an easy one particularly as our last few albums were an indication of the full potential that Depeche Mode was realising.
Since joining in 1982, I have continually striven to give total energy, enthusiasm and commitment to the furthering of the group's success and in spite of a consistent imbalance in the distribution of the workload, willingly offered this. Unfortunately, within the group, this level of input never received the respect and acknowledgement that it warrants.
Whilst I believe that the calibre of our musical output has improved, the quality of our association has deteriorated to the point where I no longer feel that the end justifies the means. I have no wish to cast aspersions on any individual; suffice to say that relations have become seriously strained, increasingly frustrating and, ultimately, in certain situations, intolerable.
Given these circumstances, I have no option but to leave the group. It seems preferable therefore, to leave on a relative high, and as I still retain a great enthusiasm and passion for music, I am excited by the prospect of pursuing new projects. The remaining band members have my support and best wishes for anything they may pursue in the future, be it collectively or individually."
Ten Seconds from Death...
Reproduction d'un article du Melody Maker du 24 septembre 1994
Alan Wilder du groupe Depeche Mode a de justesse échappé à la mort quand un Tornado de la RAF s'est écrasé sur un flanc de coteau près de Lochearhead, dans le Perthshire en Ecosse le 1er septembre, tuant ses 2 passagers. Wilder se prit sur la tête les débris éparpillés de tous les côtés de la route nationale A85 après que l'avion se soit écrasé sur prés de 200 mètres devant sa voiture décapotable. L'impact a creusé un cratère de 20 mètres de profondeur près de la route.
Wilder a publié une déclaration faisant le compte rendu de la tragédie comme suit : "Alors que j'approchais d'un virage brusque, le son du Tornado se fit entendre derrière moi, et quand j'ai regardé en l'air, le dessous de l'appareil n'était pas à plus de 15 mètres au dessus de moi. A mon grand étonnement, l'avion s'est écrasé à côté de la route, dans le vallon 200 mètres plus loin. Apparemment il allait approximativement à 750 km/h. Pendant que je faisait un écart vers une route de ferme, j'ai entendu le bruit de l'impact et j'ai vu une enorme explosion d'où la fumée et des débris m'engloutissaient presque." "Un autre témoin a couru appeler la police pendant que je faisais demi-tour vers le lieu du crash. Dans le même temps, des particules de charbon, etc... commençaient à tomber sur la voiture décapotable. Au delà de la route, des parties des corps des pilotes étaient clairement visibles sur le chemin, un parachute, des éclats d'obus en traind de bruler et une forte et entêtante odeur de fuel.
Après l'arrivée de la police, j'ai décidé de quitter les lieux pour éviter d'être en retard car beaucoup de voitures arrivaient, et qu'il n'y avait plus rien d'autre à faire. C'est seulement à ce moment que j'ai réalisé l'incroyable chance que j'avais eut. Je serais surement mort ou, pire, sévèrement estropié, si j'avais été 10 secondes plus tôt dans la journée. La chose la plus incroyable est qu'il y a une chance sur un milliard pour que cela arrive au moment particulier où je me trouvais là dans les mêmes circonstances."
Le Ministère de la Défense a donner plus tard l'identité des pilotes décédés : le Navigateur Patrick Harrison, 33 ans, et le Lieutenant Peter Mosley, 31 ans. Ils effectuaient un vol d'entrainement de routine depuis le RAF Norfolk quand l'accident est survenu.